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DOSAGE

Le traitement du VIH : du dépistage à la prise en charge thérapeutique

Le traitement du VIH repose sur 3 principes : le traitement antirétroviral (TAR) pour la prévention des récidives, le traitement antiviral pour la réduction de la charge virale et la réduction du risque de transmission du VIH à ses partenaires sexuels. Le traitement antiviral cible la protéine CD4 et cible le réservoir du virus, la cellule infectée, en diminuant la charge virale et en réduisant la taille du réservoir.

Dans le cas d’une infection par le VIH-1, les traitements de première intention reposent sur le trithérapie comprenant le TAR (variant 1) et une trithérapie associant le TAR et la combinaison fixe d’ARV. La trithérapie initiale est généralement débutée à une posologie de 200 mg/m2 par voie orale.

Dans le cas d’une infection par le VIH-2, les traitements de première intention sont les mêmes que ceux de l’infection par le VIH-1.

Variations de la charge virale

Plusieurs mécanismes peuvent expliquer la variabilité de la charge virale, notamment la capacité de résistance du virus à certains médicaments (antibiotiques ou antiviraux) et une variabilité dans la réponse au traitement (TAR) :

  • la capacité de résistance du virus est liée à sa capacité à produire des copies virales à bas niveau, à la suite de modifications du génome du virus.
  • la résistance est le résultat d’une adaptation du virus à une situation particulière ou d’un ajustement de la cible des médicaments anti-VIH. Elle peut être acquise lors de l’infection initiale par un virus différent ou en cas de traitement antiviral à forte dose.

Recherche des facteurs de résistance

Il existe 2 façons de rechercher des facteurs de résistance : par amplification génique ou par mutation.

Les facteurs de résistance à l’Aciclovir sont :

  • l’adhérence à la trithérapie. Les résistances aux inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) et les résistances aux analogues nucléosidiques de synthèses (NRTI) sont souvent dues à une adhésion à une trithérapie. Elles se traduisent par un taux de CD4 > 350/mm3.
  • la résistance à la NRTI. La résistance à la NRTI résulte d’un changement de cible thérapeutique ou d’un ajustement de la dose et du mécanisme de résistance.

Résistance acquise

Plusieurs facteurs peuvent être responsables d’une résistance acquise à un médicament, notamment :

  • la résistance primaire (résistance au premier stade de l’infection), la résistance acquise au deuxième stade de l’infection, le traitement antiviral et la résistance à la chimioprévention.
  • la résistance secondaire (résistance au troisième stade de l’infection). Il s’agit du risque de résistance à un antirétroviral particulier.

Ces résistances acquises se traduisent par une diminution de l’efficacité des médicaments.

Les résistances acquises à des antirétroviraux spécifiques (ARV) sont dues à 2 facteurs :

  • la résistance primaire ;
  • la résistance acquise au troisième stade de l’infection.

Les résistances acquises aux antirétroviraux sont également dues à plusieurs facteurs, notamment :

  • le premier médicament utilisé pour traiter l’infection ;
  • le médicament précédent ;
  • les effets secondaires de la chimiothérapie ;
  • les effets secondaires des traitements de l’infection.

Ces résistances acquises sont susceptibles de limiter les effets thérapeutiques des médicaments.

Les traitements antirétroviraux (ART)

L’ART est le traitement de référence pour les infections à VIH et pour les patients à haut risque d’infection par le VIH. Il permet d’augmenter la charge virale et de réduire la mortalité. Parmi les ART, on distingue :

  • les analogues nucléosidiques de synthèses (NNRTI).
  • les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI).

L’augmentation de la charge virale est le principal facteur de risque de transmission du VIH.

Le traitement de l’infection à VIH

Il existe plusieurs moyens de traitement de l’infection à VIH, notamment :

  • Le traitement de l’infection primaire à VIH par des médicaments antirétroviraux (ARV) à dose efficace.
  • Le traitement du VIH-1 par des médicaments antiviraux à faible dose. Il s’agit de l’anti-intégrase (INTI). Il réduit la charge virale et permet d’obtenir un taux de CD4< 50/mm3. Il existe 2 classes d’anti-intégrases : 2T1R1 et 3T1R1.
  • Le traitement de l’infection à VIH-2 par des médicaments antiviraux à forte dose. Il permet de réduire la charge virale à un taux < 500 copies/mL et de réduire la virémie (charge virale) à un taux < 250 copies/mL.

Détection de la charge virale

La détection de la charge virale est réalisée par une méthode d’analyse quantitative de l’ADN. Elle permet d’évaluer la probabilité de l’infection par le VIH ou de la présence d’une résistance à un ARV.

Mesure de la charge virale

La mesure de la charge virale permet de déterminer la probabilité d’une infection par le VIH. La mesure de la charge virale est réalisée de 2 façons : par PCR (réaction en chaîne par polymérase) et par RT PCR.

La mesure de la charge virale par PCR repose sur la détection du génome viral dans un échantillon de sang. La mesure de la charge virale par RT-PCR repose sur la détection du génome viral dans un échantillon de salive.

Mesure de la charge virale dans le sang

La mesure de la charge virale dans le sang est réalisée par la méthode de RT-PCR. Il s’agit d’une technique qui permet de détecter la présence du génome du VIH dans l’échantillon de sang.

La mesure de la charge virale dans le sang peut être réalisée par PCR (réaction en chaîne par polymérase) ou RTPCR (réaction en chaîne par polymérase de type II).

La mesure de la charge virale dans le sang peut être réalisée en cas de VIH-1, de VIH-2 ou de VIH-3.

Mesure de la charge virale dans les liquides biologiques

La mesure de la charge virale dans les liquides biologiques est réalisée par RT-PCR.

La mesure de la charge virale dans les liquides biologiques peut être réalisée en cas de VIH-1, de VIH-2 ou de VIH-3.

Mesure de la charge virale dans les selles

La mesure de la charge virale dans les selles est réalisée par RT-PCR.

La mesure de la charge virale dans les selles peut être réalisée en cas de VIH-1, de VIH-2 ou de VIH-3.

Mesure de la charge virale par test immuno-enzymatique (ELISA), immuno-compétent

Il s’agit d’une méthode qui permet de détecter la présence du génome du VIH dans l’échantillon de sang. La mesure de la charge virale par test ELISA est réalisée en cas de VIH-1, de VIH-2 ou de VIH-3.

Mesure de la charge virale par PCR en temps réel (RT-PCR)

La mesure de la charge virale par RT-PCR est réalisée en cas de VIH-1, de VIH-2 ou de VIH-3.

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